30 juillet 2010

Freddy de Paepe / Captures minimalistes


Freddy de Paepe / Captures minimalistes
STELLA SOLARIS / Rue de Laeken 34 / 1000 Bruxelles
8/7/2010 - 15/9/2010

Freddy De Paepe / En 1962, âgé de 13 ans son père lui prête un appareil photo pour son voyage scolaire, la passion de la photographie ne l’a plus quitté depuis et il en a fait sa profession. Passionné de chambre noire, il passe le plus clair de son temps dans l’obscurité pour parfaire sa technique de tirage noir et blanc. Photoreporter depuis plusieurs années, Freddy continue à photographier les paysages dans les pays qu’il traverse. La plupart de ses photos noir et blanc sont de tendances minimalistes, et la recherche de formes simples et de compositions graphiques très dépouillées en sont les aspects fondamentaux.

'Captures minimalistes' / Avec cette série de photos, Freddy veut partager sa passion pour les paysages. Le tirage en noir et blanc est rehaussé, parfois, d’un très léger virage. Il aime à restituer ces moments de bonheur capté au cours de ses voyages à l’étranger ou de ses promenades dans les campagnes et villes de Belgique. La lecture des images de Freddy est simplifié par le format carré et le dépouillement minimaliste présents dans son œuvre.

Olivier Donnet / One minute after

Olivier Donnet / One minute after
K-nal / av. du Port 1 / Bruxelles
Jusqu'au 31/08/2010

12 photos de Olivier Donnet à voir pendant les soirées qui ont lieu au K-nal.
L'été est là, c'est certain et, au moment où la grand messe des Festival est annoncée, Olivier Donnet nous propose de découvrir une partie de son travail d'artistes shootés 'one minute after' leur performance. 3 ans qu'Olivier parcoure les scènes de tout le pays pour capturer cet instant unique auquel personne n'est jamais invité. A ce moment, intime, il shoote les artistes, nus, rincés après avoir tout donné. Chaque photo transpire la vrai personnalité de ces êtres magnétiques. Pas n'importe lesquels, ceux de groupes que vous pourrez retrouver dans les festival belges cet été: Fagget Fairys, Gossip, Ghinzu, Aeroplane, Das Pop, The Drums, Au Revoir Simone. Enjoy the show!

27 juillet 2010

EOS 550d / Erreur #20 (suite)

Le site du service après vente de la FNAC mentionne: "REMPLACEMENT PLATINE OBTURATEUR, VERIFICATIONS ET TESTS"...
Il vallait effectivement beaucoup mieux que ça arrive en juin que le jour du mariage de ma fille...
Allez, j'attend qu'il arrive dans mon magasin pour aller le récupérer...

Le bouquet

26 juillet 2010

Wouter Van de Voorde a l'Arenberg

Wouter Van de Voorde
2/8/2010 - 31/8/2010 : tous les jours de 14:00 à 22:00
Photo Gallery asbl et Cinema Arenberg / Galerie de la Reine 26 / 1000 Bruxelles
Dans le cadre de l'été de la photographie

Vous l'avez peut-être déjà vu à la FNAC de Louvain la Neuve...

Wouter Van de Voorde est un belge contemporain dans l’Australie contemporaine mais ses images portent plutôt la signature de l'Amérique du 20ième siècle. Les photos que Van de Voorde réalise de l'autre côté du monde trouvent leur origine dans l'étonnement pour son (nouvel) environnement et ont un caractère cinématographique, intriguant et souvent étrange.

25 juillet 2010

Serge Vandercam / Du regard a la main


Serge Vandercam / Du regard à la main
Musée des Beaux arts de Mons - BAM / 8 rue Neuve / 7000 Mons

Cinq ans après la disparition de Serge Vandercam (1924-2005), le BAM lui rend hommage en présentant une œuvre foisonnante mais encore méconnue du grand public.
Lié à Cobra dès 1949, Vandercam en conservera la dimension collective qui jalonne son parcours de travaux de collaborations avec écrivains et poètes (Hugo Claus, Christian Dotremont, Jean Dypréau, François Jacqmin, Jacques Meuris, Max Loreau,…). Ces compagnons de routes seront à la fois témoins (auteurs de textes) et acteurs (œuvres partagées) de l'évolution d'un univers artistique aux formes multiples. Ainsi, l'exposition s'articule autour de photographies et peintures auxquelles répondent les personnages de céramiques et les sculptures d'Oizals.
De 1980 à 1989, il est directeur de l'Ecole des Beaux-Arts de Wavre.

24 juillet 2010

Close Up au musee d'Ixelles


Close Up
25/5/2010 - 5/9/2010
Musée d'Ixelles / rue Jean Van Volsem 71 / 1050 Bruxelles

Collection de photographies du Musée d'Ixelles
Pour la première fois, le Musée d’Ixelles expose la quasi totalité de sa collection de photographies. Constituée dans les années 1970, elle comporte des oeuvres d’artistes de la deuxième moitié du XXème siècle à nos jours.

Laurent Friob
Le Musée d’Ixelles participe à l’Eté de la photographie.
Laurent Friob expose les séries "Etoiles sans lendemain" (2008) et "La ligne courbe du point: inertie temporelle" (2005).

10 ans d'acquisitions
Riche de quelque 10.000 oeuvres des XIXe et XXe siècles, le Musée d’ixelles a vu sa collection s’accroître au fil des années. Si les achats de ces dernières années privilégient l’art contemporain, certaines oeuvres exceptionnelles plus anciennes ont également été acquises. C’est cette diversité que l’accrochage d’été souhaite mettre en valeur : James Ensor, Rik Wouters, Jules Lismonde mais aussi Dirk Braeckman, ou Stephan Balleux.

23 juillet 2010

Vu: Cedric Gerbehaye / Congo in Limbo

Cédric Gerbehaye / Congo in Limbo
10/6/2010 - 08/8/2010
Botanique

Une expo littérallement sur deux niveaux au Museum du Botanique...

Au rez de chaussée, une immersion dans un univers (littérallement lui aussi) noir; des photos à la limite de la netteté parfois, ou bien où le flou et le net se combinent habilement - des images vues plutôt que regardées; et dont le grain de l'image renforce encore la noirceur. Des 24x36, du 6x6 (plus léché pour sa part), du panoramique... le tout en noir et blanc.
La violence est contenue... mais dans chaque image, elle est perceptible. Une tension dont on ne se défait - mais presque à regret - qu'en s'échappant dans la deuxième partie de l'expo.

A l'étage, une sorte de galerie de portraits, des échos d'une vie qu'on dirait presque normale; une photo souvent soignée; mais pas nécessairement la plus attachante.
Le rez m'aurait suffi !

Danny Veys / Coal is b(l)ack...


Danny Veys / Coal is b(l)ack...
Le Bois du Cazier / 80 rue du Cazier / 6001 Marcinelle
2/7/2010 - 5/9/2010

Si en Wallonie comme en Flandre, les mines et les mineurs font désormais partie du patrimoine, dans le Donbass en Ukraine, les charbonnages constituent toujours le quotidien de 450.000 mineurs.
L'exposition « Coal is b(l)ack » est présentée en collaboration avec Coalface, interface internationale destinée à promouvoir et encourager la photographie sociale et documentaire traitant des communautés nées de l’exploitation minière.
A travers cette mission, collectant documents anciens et actuels, provoquant des campagnes photographiques et de récoltes de témoignages, Coalface nourrit et entretient la mémoire collective de ces bassins miniers – à l’arrêt ou toujours en activité – par et pour leurs habitants.
Le choix de Danny Veys de travailler en noir et blanc, favorisant l’approche conflictuelle et directe, montre l’engagement et l’immersion totale du photographe flamand dans ses reportages. Veys privilégie d’ailleurs les projets à long terme, lui permettant de mieux s’imprégner du sujet.
Danny Veys enseigne la photographie documentaire à l'Institut des Beaux-Arts Sint-Lukas à Bruxelles. Son travail a été publié dans de nombreuses revues et fait l’objet de plusieurs expositions.
Coal is b(l)ack est un projet conjoint du Musée de la Photographie d’Anvers, de Het Vervolg / Coalface (dans le Limbourg) ainsi que de Sint-Lukas à Bruxelles.

22 juillet 2010

Photographie feministe

... ou lecture féministe de la photographie...
Peu importe...

Deux lectures ces jours ci...

Le portfolio de Kimiko Yoshida dans le magazine "Color - for collectors of fine photography" de juillet 2010.
L'article de présentation est particulièrement éclairant sur les raisons de son émigration en Europe et sur les liens ce celle-ci avec son art. Juste l'occasion aussi de faire remarquer que c'est une de mes photographes préférées...

Et "Donna: avanguardia femminista negli anni '70; dalla Sammlung Verbund di Vienna", le remarquable catalogue d'une exposition terminée maintenant de la GNAM (Galleria nazionale d'arte moderna e contemporanea / Viale delle Belle Arti, 131 / Roma).
L'occasion de faire le point sur le rôle des femmes dans la photographie contemporaine des années 70... et en particulier de retrouver (entre autres) les images d'une autre de mes photographes préférées Francesca Woodman.
Du point de vue de l'histoire de l'art, l'intitulé "avanguardia" est sans doute ambigü et contestable (puisque l'art contemporain serait précisément un art "post moderne" et donc sans "avant garde") mais les différents articles lèvent tout les doutes quant à l'opportunité de son usage dans ce contexte.

21 juillet 2010

Image l(')at(t)ente

Un nouveau projet... et un nouveau blog encore: "Image l(')at(t)ente"

Rappelez vous ces photos que j'avais trouvées dans un vieux Kodak Box...
Elles ne me laissent pas tranquille... et me donnent à penser sur le statut de la photo pas encore développée...

20 juillet 2010

Slow photography / photographie lente

Un nouveau projet... et un nouveau blog: "Slow photography / photographie lente"

Pas d'impatience ni de précipitation... le sujet ne s'y prête pas...
Et si on prenait le temps de photographier? si on prenait du temps aussi pour explorer le temps de la photographie?
Et pour commencer... deux ou trois lectures que je vous propose les jours prochains...

14 juillet 2010

Michel Castermans / Frontiere

Michel Castermans / Frontière
Dans le cadre de l’Eté de la Photographie.
Espace Photographique Contretype / Avenue de la Jonction 1 / 1060 Saint-Gilles
21/7/2010 - 12/9/2010

Michel Castermans est né en Belgique en 1956 et réside à Bruxelles.
Dès l’ enfance, il s’intéresse à la photographie, grâce au petit format carré des appareils à cassette «Instamatic». Des études et la pratique d’une activité professionnelle qui lui accordent peu de temps libre l’obligent à laisser son appareil de côté. Mais pour un temps seulement. Depuis 1996, et plus encore depuis 2002, année de sa rencontre avec Bernard Plossu, il consacre une partie de son temps à la photographie et aux voyages, proches ou lointains.
Il a publié en 2005, avec l’écrivain Joël Vernet, un ouvrage sur le pays dogon, La montagne dans le dos.

10 juillet 2010

Nick Brandt / A shadow falls

Nick Brandt / A shadow falls
Young Gallery Knokke / / 811 Zeedijk / 8300 Knokke
7/8/2010 - 19/9/2010

Dans "A shadow falls", Nick Brandt continue son projet photographique ambitieux pour graver dans les mémoires la grandeur naturelle en voie de disparition de l'Est africain. Les panoramas de Brandt mettent en scène animaux et paysages et capturent une vision épique de l'Afrique jamais vue auparavant. Ses portraits esthétisants d'animaux majestueux sont pleins d'une empathie habituellement réservée aux sujets humains.

09 juillet 2010

Antonio Eugenio / The Store

Antonio Eugenio / Expo photo
The Store / Ch. de Charleroi 170A / 1060 Saint-Gilles
9/7/2010 - 27/8/2010

Graphiste et photographe, Antonio Eugenio décompose l’uniformité de la ville et, l’espace de quelques clichés, en valorise ses composants les plus marginalisés : ces personnes, ces objets, ces détails, qui sont mis à l’écart. Autant de composants qui font de la ville ce qu’elle est.
Son travail consiste à capturer l’impulsion du mouvement, figer l’action, en retranscrire sa puissance et sa dynamique dans les différents contextes où elle apparaît. Face à la ville, aux éléments et à ses habitants, Antonio s’essaie aux jeux de l’espace et de la lumière pour capter l’énergie du mouvement et la restituer au travers de ses photographies.
Une série de photos à découvrir dans l'univers coloré et ludique du magasin The Store à Bruxelles.

06 juillet 2010

Hasselblad 501C au chomage...

Si certains s'en souviennent encore, en décembre j'avais officiellement lancé une période d'interlude. L'hôpital n'est évidemment pas le meilleur endroit pour pratiquer la photographie...

En fait, l'interruption datait de plus longtemps encore.
Quelques photos durant l'été, début août à l'occasion de mes vacances... rien d'inoubliable. J'imagine qu'aucune ne verra jamais le papier et l'impression.
Août, septembre, octobre... mon Blad est en vacances...

Une semaine intense ensuite, début octobre, au Liban... mais avec pas mal de ratés. Des films mal chargés, les entrainements de film chaotiques... et pas mal de déchet. Mais de quoi faire une expo tout de même...
Novembre, décembre, janvier, février, mars, avril, mai, juin... de très longues vacances à nouveau pour mon Blad...

Entretemps, après l'avoir acheté en décembre, j'ai bien entendu utilisé pas mal mon Voigtlander Bessa III 667. Mais bien différemment. Aucun projet photographique n'est encore démarré. J'apprends juste à regarder. A sentir et à maitriser l'outil... Et cela se passe très bien entre nous...

Samedi, pour le mariage d'un cousin de ma femme, le Bessa 667 ne suffisait pas... L'EOS 550 aurait été le bienvenu peut-être... Et puis il faut avouer que les portraits au Blad, ça donne vraiment pas mal... Je m'étais donc chargé des deux. Un en noir et blanc, l'autre en couleur; et pas toujours le même.
Je dois pourtant reconnaître que, la cérémonie terminée, j'ai dû abandonner le Blad... trop lourd pour moi. La certitude (confirmée hier et aujourd'hui) que j'allais payer cet exercice. La sécurité tout de même que les signaux d'alerte me sont maintenant particulièrement bien connus: des problèmes dans les jambes quand on travaille avec les bras... ou le bras droit qui fait des siennes quand on opère du bras gauche... Alerte rouge...
Stop, on remballe, et, même si les quelques jours suivants seront un (tout petit) peu douloureux... cela en restera là...

Mon Blad est là, juste à côté.
Mais il va retrouver sa place dans une armoire.
Pas question de l'emmener faire du tourisme cet été...
Et fin août, pour le mariage de ma fille, je lui concéderai un seul film... deux au maximum...
Ce seront pour lui de grandes vacances, en attendant que ma mécanique soit enfin près à le retrouver sans réserve, pour notre plus grand plaisir...

02 juillet 2010

EOS 550d / Erreur #20

Seuls ceux qui croient me connaître auront pu croire que je croupirais à jamais dans les bas fonds de l'obscurantisme analogique.
Ils auraient d'ailleurs dû s'apercevoir depuis longtemps que j'étais déjà l'auteur d'au moins (sans compter celle que j'ai ratées et jetées) 366 photos du plus pur numérique, puisque commises avec mon téléphone cellulaire.

Et j'ai donc franchi les deux premiers obstacles: je cadre en principe horizontalement... et je ne supprime plus systématiquement mes photos juste après les avoir prises (pour la bonne et simple raison que je ne les regarde pas)...

Mais bon... le numérique pourrait tout de même y mettre du sien.

Au démarrage j'avais bien remarqué qu'il me donnait parfois une "Erreur 20" (éteindre l'appareil et le rallumer, et si ça ne suffit pas enlever et remettre la batterie)...
Et très consciencieusement je l'ai fait... une fois, dix fois et puis trente...
Commençant à trouver dommage qu'il "oublie" ainsi de sauver quelques clichés qui en auraient valu la peine...

Et puis il y a deux semaines, lors d'une soirée chez des amis, il a vraiment fait beaucoup d'erreur 20... beaucoup trop...

Moralité, il est retourné au service après vente!
J'ai d'ailleurs trouvé le moyen de reproduire ce problème devant le commerçant: photographier en rafale. Au bout de quelques images, il se met en erreur...

Dommage pour ce week-end ci. J'avais prévu de faire des photos à un mariage de cousins.
J'en ferai, bien entendu: au Blad et au Bessa 667.
Mais mon EOS 550d m'aurait été bien utile.

Allez, ce sera pour septembre, et pour le mariage de ma fille!

Allan Sekula / Ship of Fools

Allan Sekula / Ship of Fools
FotoMuseum (Musée de la Photo) / Waalse Kaai 47 / 2000 Anvers
28/05/2010 - 05/09/2010

Le M HKA lance un projet d’Allan Sekula dans le cadre du programme d’exposition conjoint du M HKA et du FotoMuseum organisé au 4e étage du FotoMuseum, projet dont le fil conducteur est la culture des images. Les conditions économiques et sociales liées à la navigation maritime et l’internationalisation croissante d’une économie industrielle mondiale constituent l’un des thèmes récurrents de l’œuvre de Sekula. Dans Ship of Fools, il illustre le voyage autour du monde entrepris par le Global Mariner entre 1998 et 2000. Le navire a fait escale dans des ports de divers pays afin d’amplifier la prise de conscience de la problématique de la « navigation sous un pavillon bon marché » et d’initier la solidarité internationale entre les ouvriers.